Ca y est, c’est la dernière semaine… Lundi 5 octobre, on quitte la région parisienne. Mais qui est ce nouveau colloc pour la dernière semaine ? C’est Régis, ami d’enfance de Thomas ! C’est super d’être avec un copain, c’est un peu la fête et ça nous évite de trop penser à la fin qui approche.
La Pologne ! Des tâches de couleur dessinent le paysage, baigné d’un soleil qui chauffe. Le jaune des champs de blé, le vert des arbres ; le bleu des si nombreux lacs et de la mer Baltique ; le blanc et le noir des vaches (normandes ?:-) ) et des cigognes…
Partie 2/2 : on a coupé l’article en deux pour qu’il soit plus facile à lire. Pour lire le début, c’est ici !
De Xi’an à Pékin nous découvrons une autre Chine. La Chine citadine, la Chine du Nord si différente de celle du Sud. Mais c’est aussi 15 jours d’accueil par des gens formidables.
Le Laos, ses gens adorables et si souriants, ses beaux paysages… Une partie sud relativement plate, mais par contre une partie nord… montagneuse !
Une entrée fracassante ! Rhaa le bonheur des postes frontières ! Notre premier contact avec le Laos a été a mille lieues de ce qu’on a vécu ensuite. Heureusement !!
On est à Phnom Penh depuis une semaine maintenant. On vous racontera plus en détails le début du Cambodge dans un prochain post. Mais en gros, les 5 sens sont activés en continu ! La vie est moins facile qu’en Thaïlande, mais on aime bien quand même. Bref, on voulait juste vous dire qu’on va être bloqués encore quelques jours dans la capitale.
Nous avons passé 12 jours à Istanbul. À la base, on comptait y passer juste une semaine, mais nous avons été plus rapide que ce qu’on avait calculé. Finalement, nous sommes très contents de cette bonne pause. Elle a permis de faire un bon point et se reposer… avant de commencer la saison 2 de notre aventure : l’Asie !
Il y a un peu plus d’un an, nous pédalions sur une voie romaine, la via Claudia Augusta, et Thomas me demandait en mariage. Pour notre début de voyage de noces, nous sommes à nouveau sur une ancienne voie romaine : la via Aurelia.
Mettre play sur la chanson avant de lire l’article Bon, en fait la chanson n’a à peu près rien à voir avec ce que je vais écrire, mais je l’ai eu dans la tête pas mal ces temps ci… vu que beaucoup de choses prennent fin. Jim Morrison fait directement référence (pour les incultes dont je faisais partie il y a 5 minutes avant de me documenter sur wikipedia) à la psychanalyse freudienne ainsi qu’au chamanisme : il s’agit d’une plongée dans le subconscient, avec des histoires de serpents et de démons. Bref, rien à…
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